note General note
la poussière nous cerne parce qu'elle nous ressemble
![](/media/notes/note_16367/couv-la-lapoussierenouscerne_c11400.jpg)
À travers une approche tantôt plus narrative, tantôt plus dépouillée, la poésie de virginie fauve questionne les assises, tant féministes qu’identitaires, qui teintent sa position ambiguë d’autrice confrontée à son héritage littéraire et à ses propres limites énonciatives. la poussière nous cerne parce qu’elle nous ressemble est divisé en trois parties (« que répondre sans arracher ta bouche des mots », « il faut renverser la toponymie avant qu’elle nous efface du paysage » et « rien de plus qu’une grande fatigue ») qui font défiler les multiples référents qui constituent la poète, mais qu’elle rejoue, détourne, réécrit. Elle cherche à comprendre, à investir une histoire qui l’inscrit en faux, qu’elle veut démentir sans pourtant renier.
HÔTESSE DE RIEN
je ne sais pas accueillir
ni la froideur
ni les foulesje ne sais pas non plus
les récuserelles me fondent
tout simplement
Linked notebook(s)
![](/media/CACHE/images/notepad/notepad_226/carnet-communaute-6/6ff96cc1bc86bfaea3031095b8f6ef60.png)
Moment de poésie
file_copy 20 notes![](/media/CACHE/images/notepad/notepad_746/1/c18c18bf8fbb85322e398959188845e5.png)
Tous les savoirs ancrés dans une perspective féministe
file_copy 86 notesAuthor(s) of note
Anonymized account(s)
Linked community
Perspectives féministes
More informationPublished
Feb. 29, 2024
Edited
Feb. 29, 2024, 10:50 a.m.
Licence
Alert: a part or the whole of this content might not be the property of the author or authors of the note. If needed, find out about conditions for re-use.
Visibility
public
Quote this note
Anonyme. (2024). la poussière nous cerne parce qu'elle nous ressemble. Praxis (consulted June 30, 2024), https://praxis.encommun.io/en/n/BJKg4l-Vckx5i4fo-Odm8UMavSA/.
shareCopy