Et si nous tentions l'aventure du vélo?

Étude de cas : Lucie

Lucie fait souvent face à des désagréments en manquant régulièrement l'autobus, que ce soit en raison d'un manque de temps entre les correspondances, de bus surchargés, voire lorsque celui-ci ne passe tout simplement pas. Cette situation génère du stress pour ne pas être en retard au travail, entraînant une perte de confiance dans les transports collectifs.

Lucie a alors décidé d'explorer ses options pouvant faciliter ses déplacements. Elle a alors assisté à une séance de réparation mécanique pour son vélo personnel, mais elle était craintive de l'absence d'un espace à vélo sécurisé. Elle a donc décidé d'adopter la pratique du vélo partagé. Elle combine désormais ses déplacements en empruntant à la fois l'autobus et le vélo.

 

Les résultats

La première expérience avec le service de vélo partage a été marquée par plusieurs obstacles, suscitant des sentiments de frustration. Cependant, la deuxième tentative s'est révélée plus positive, suggérant que le vélo partage peut être une option viable dans certaines conditions, notamment pour des trajets plus courts et en choisissant des stations avec plusieurs vélos disponibles. Suivant l'expérimentation, Lucie ressent qu'elle a davantage accès à une diversité d'option pour ses déplacements.

Naturellement, la situation vécue par Lucie ne peut pas être généralisée à l'ensemble de la population. Il est également essentiel de reconnaître que la pratique du vélo n'est pas accessible et inclusif à chacun-e de manière équitable. Ainsi, on peut se poser la question suivante : La pratique du vélo est-elle inclusive?