Des métropoles low-tech et solidaires, quel rôle pour l'ESS?

"Et si le progrès technique infini n'était pas la solution aux défis de demain ? Sans rejeter en bloc l'innovation technologique, la low-tech propose une réflexion critique sur la place et l'usage de la technologie dans notre société."

Limites de la ville high-tech

• "craintes liées à l’utilisation des données personnelles"
• "renchérissement technologique [qui] entraîne effet rebond et in fine [une] consommation accrue de ressources et d’énergie"

Possibilités des villes low-tech

• "une ville qui, sans rejeter en bloc la technologie et l’innovation technique, fait montre d’un plus grand « techno-discernement » , tant pour l’environnement que pour notre autonomie et notre résilience individuelles et collectives. "

Possibles alliances entre ESS et les villes low-tech

• "Les nombreuses et diverses initiatives rencontrées dans le cadre de cette étude - sur l’habitat, la mobilité ainsi que la consommation et la production responsables - montrent que l’ESS contribue déjà à poser les bases d’une transition radicale (c’est-à-dire s’attaquant à la racine des problèmes) et nécessaire"
• "Il s’agit plutôt de proposer une boussole pour repenser de façon cohérente et systémique la place de la technologie dans les territoires urbains "

Pour découvrir l'étude sur les métropoles low-tech

• "Pendant un an, le Labo de l'ESS a réalisé une étude sur cette démarche low-tech , un concept avec lequel l'économie sociale et solidaire est fondamentalement liée."

https://www.lelabo-ess.org/l-avenir-des-villes-est-il-voue-a-etre-toujours-plus-technologique