note Note générale
Enjeux de gouvernance à la Fédération professionnelle des journalistes du Québec (FPJQ)
Après le MBAM, la Pépinière et MEC, c'est au tour de la Fédération professionnelle des journalistes du Québec (FPJQ) de faire face à des enjeux de gouvernance.
À noter : dans les deux articles parus ces derniers jours, il n'est jamais fait référence à l'aspect démocratique du fonctionnement actuel ou souhaité de la gouvernance de cette fédération.
Extraits des articles du Devoir :
"Dans un contexte visiblement tendu, la directrice générale de la Fédération professionnelle des journalistes du Québec (FPJQ), Catherine Lafrance, a démissionné de son poste, qu’elle occupait depuis trois ans. Un rapport de l’Institut sur la gouvernance d’organisations publiques et privées (IGOPP) a par ailleurs soulevé des failles dans la gouvernance de la FPJQ."
"On y mentionne notamment un « cadre de gouvernance défaillant » et une « perte du lien de confiance entre le conseil d’administration et la direction générale ».
"Le problème est complexe et touche le cœur de l’organisation, soit la vision de sa gouvernance."
"Si la mission première de la FPJQ — défendre la liberté de presse et le droit du public à l’information — ne laisse place à aucune interprétation, ses statuts et ses règlements généraux en matière de gouvernance ne sont plus adaptés aux réalités de 2020 et posent un problème lorsque vient le temps de décider de la manière de remplir cette mission."
"C’est dans cette optique qu’avant même le début de mon mandat à la présidence de la Fédération, j’ai été partisan comme administrateur d’un diagnostic par l’Institut sur la gouvernance (IGOPP). Après plusieurs mois, une résolution a été votée à l’unanimité par le conseil d’administration. Le rapport qui s’est ensuivi a fait état d’un cadre de gouvernance défaillant, qui nous empêche malheureusement de nous concentrer sur notre mission première.
Pour ne donner qu’un exemple, la FPJQ est un des derniers organismes québécois à encore avoir un petit conseil exécutif qui, dans les faits, prend toutes les décisions, une formule désuète et quasi disparue en 2020, selon le p.-d.g. sortant de l’IGOPP, Michel Nadeau, qui a personnellement réalisé le diagnostic de gouvernance de la Fédération et formulé ses recommandations."
https://www.ledevoir.com/opinion/idees/586327/idees-les-journalistes-unis-dans-la-tempete
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21 septembre 2020
Modification
17 février 2023 09:12
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