la poussière nous cerne parce qu'elle nous ressemble

À travers une approche tantôt plus narrative, tantôt plus dépouillée, la poésie de virginie fauve questionne les assises, tant féministes qu’identitaires, qui teintent sa position ambiguë d’autrice confrontée à son héritage littéraire et à ses propres limites énonciatives. la poussière nous cerne parce qu’elle nous ressemble est divisé en trois parties (« que répondre sans arracher ta bouche des mots », « il faut renverser la toponymie avant qu’elle nous efface du paysage » et « rien de plus qu’une grande fatigue ») qui font défiler les multiples référents qui constituent la poète, mais qu’elle rejoue, détourne, réécrit. Elle cherche à comprendre, à investir une histoire qui l’inscrit en faux, qu’elle veut démentir sans pourtant renier.

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 HÔTESSE DE RIEN 

je ne sais pas accueillir
ni la froideur
ni les foules

je ne sais pas non plus
les récuser

elles me fondent

tout simplement

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Moment de poésie
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Intégré par Marie-Soleil L'Allier, le 29 février 2024 10:45
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Tous les savoirs ancrés dans une perspectives féministes
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29 février 2024

Modification

29 février 2024 10:50

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