note Note générale
la poussière nous cerne parce qu'elle nous ressemble
À travers une approche tantôt plus narrative, tantôt plus dépouillée, la poésie de virginie fauve questionne les assises, tant féministes qu’identitaires, qui teintent sa position ambiguë d’autrice confrontée à son héritage littéraire et à ses propres limites énonciatives. la poussière nous cerne parce qu’elle nous ressemble est divisé en trois parties (« que répondre sans arracher ta bouche des mots », « il faut renverser la toponymie avant qu’elle nous efface du paysage » et « rien de plus qu’une grande fatigue ») qui font défiler les multiples référents qui constituent la poète, mais qu’elle rejoue, détourne, réécrit. Elle cherche à comprendre, à investir une histoire qui l’inscrit en faux, qu’elle veut démentir sans pourtant renier.
HÔTESSE DE RIEN
je ne sais pas accueillir
ni la froideur
ni les foulesje ne sais pas non plus
les récuserelles me fondent
tout simplement
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Moment de poésie
file_copy 19 notesTous les savoirs ancrés dans une perspectives féministes
file_copy 81 notesCommunauté liée
Perspectives féministes
Plus d’informationsPublication
29 février 2024
Modification
29 février 2024 10:50
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