note Note générale
Les « sept péchés » de l'écoblanchiment
Exemples d'investissements de « greenwashing » - Les « sept péchés »
- Le compromis caché
- L’attention est portée sur un aspect écologique, tout en passant sous silence les procédés nocifs et polluants
- Par exemple, les produits faits de papier sont peut-être plus écologiques, mais ils peuvent participer à la destruction des forêts.
- L’absence de preuve
- Il est prétendu que le produit est vert, mais aucune preuve ou certification n’a été faite par une tierce partie.
- Ce manque de crédibilité représente donc une forme d'écoblanchiment.
- L’imprécision
- Une allégation si vague qu’elle perd toute signification.
- Exemple: «100% naturel » ou «écologique».
- La confiance en de faux labels
- Les logos apposés s’inspire fortement de ceux délivrés par les organismes de certification authentiques, ce qui suggère que le produit ou le service a été approuvé par une tierce partie.
- La non-pertinence
- L'absence d’une substance nocive ou d'une pratique non éthique est mentionnée alors qu’il n’en a jamais été question pour commencer ou que celle-ci est interdite.
- Exemple: « sans CFC ».
- Le moindre mal
- Allégation qui démontre le côté plus « vert » d’une catégorie de produits non écologiques.
- Exemples: cigarettes biologiques, VUS économe de carburant, etc...
- Le mensonge
- Une prétention tout simplement fausse.
Selon le rapport 2010 de TerraChoice, 95 % des 5 296 produits dits « verts » évalués au Canada et aux États-Unis tombent dans une ou plusieurs catégiories mentionnées plus haut.
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Comment repérer l'écoblanchiment dans les investissements ESG ?
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Intégré par Abir Samih, le 19 avril 2023 14:41
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19 avril 2023
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3 juillet 2023 14:23
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