
Nous demandons que le respect du principe de consentement préalable, libre et éclairé des peuples autochtones soit mis en œuvre dans les lois et soit rendu obligatoire notamment dans les projets énergétiques et miniers et ceux associés à la filière de la batterie.
Nous demandons que toute modification de la Loi sur la Régie de l’énergie et de la Loi sur Hydro-Québec inclue une clause obligeant les nouveaux développements énergétiques à respecter les droits constitutionnels, internationaux et inhérents des onze nations autochtones.