Le patrimoine religieux du Québec se retrouve peu à peu délaissé avec le vieillissement des communautés. Le conseil du patrimoine religieux estime à 762 le nombre de bâtiments fermés ou abandonnés.
La nationalisation de ce patrimoine permettrait non seulement de garder le legs du catholicisme québécois entre les mains de la nation, mais cela pourrait aussi permettre la création de centaines de logements sociaux, de parcs et d’espace public accessibles, surtout que la majorité de ces bâtiments sont situés stratégiquement au coeur des municipalités.