Par Gabriel Marcotte pour Actualité UQAM | «L’usure des freins, des pneus et des revêtements routiers constituera bientôt la première source d’émissions atmosphériques de particules liées au trafic routier, devant les gaz d’échappement.»
Les particules en suspension
- L'usure du véhicule produit 25% des particules en suspension
- "L'usure accessoire de la voiture produit chaque année le quart des particules en suspension dans les zones urbaines et pourrait devenir la source dominante de pollution liée au trafic routier d’ici 2035, selon le rapport de l'OCDE."
- Elles provoquent des problèmes pour la santé humaine
- créent troubles respiratoires et cardiaques sévères
- arythmies
- infarctus
- asthme
- maladies pulmonaires obstructives chroniques (MPOC)
- thrombose
- trouble de coagulation sanguine
- problèmes vasculaires cérébrovasculaires.
- se trouvent au 7e rang des facteurs de risques de mortalités et morbidité
- " l’exposition aux particules en suspension figure au septième rang des facteurs de risque de mortalité et de morbidité dans le monde."
- créent troubles respiratoires et cardiaques sévères
- La voiture électrique produirait 3 à 8% plus de particules fines
- "les véhicules électriques produiraient de 3 à 8 % plus de particules fines en raison de leur poids, augmentant le risque d'affecter la santé humaine."
https://actualites.uqam.ca/2022/pneus-et-freins-des-pollueurs-insoupconnes
