Survol des données directes issus des ateliers

Pour pouvoir bien apprécier les résultats présentés dans cette note, on recommande d'abord de prendre connaissance de l'échantillon ayant répondu en consultant cette brève note. 

D'ailleurs, il est important de rappeler que l'échantillon de répondant.e.s au sondage de fin d'atelier est probablement biaisé par la volonté de bien faire et rendre service à l'équipe d'animation soit par sympathie, démonstration de leur satisfaction ou par soutien à la cause environnementale. Un autre incitatif peut aussi être le besoin de faire part de ses critiques ou son mécontentement. Les résultats démontrent ces 2 biais d'incitatif. 

Moments de bonheur

Lors du brise-glace de l'atelier, les participant.e.s devaient partager leur dernier moment de bonheur et l'animateur notait les principaux concepts ou mots-clés de ce moment et voici le nuage de mots des 201 moments de bonheur récoltés. Le nuage pondère chaque concept selon sa fréquence d'occurance au cours des 14 ateliers. On peut apprécier l'importance des dimensions sociales avec des mots comme famille, enfants, amis, alors que la deuxième famille de mot la plus centrale est celle liée à la nature. 

Ces moments de bonheur, souvent centrés sur les relations sociales et la nature, soulignent les valeurs fondamentales partagées par les participant·e·s. Ces valeurs ont servi de point d’ancrage émotionnel pour les discussions sur les changements climatiques, favorisant un dialogue constructif et inclusif dès le début de l’atelier.

La motivation à agir

Données quantitatives: très légère hausse de la motivation à agir

Les participant·e·s ont autoévalué leur motivation à agir pour le climat à deux moments clés de l’atelier : au début et à la fin. Les résultats montrent une variation moyenne modeste, avec un écart moyen de +0,65 point sur une échelle de 10 (médiane de 0). La moyenne est passée de 7,35 au début de l’atelier à 8,01 à la fin. Ces données indiquent une très légère augmentation de la motivation à agir.

Observations qualitatives : ancrage de la motivation

Les observations des animateurs soulignent que l’effet de l’atelier ne réside pas tant dans une augmentation substantielle de la motivation, mais dans son ancrage. Alors que la motivation initiale des participant·e·s était souvent décrite comme forte mais diffuse et parfois erratique, elle a évolué vers une motivation plus consciente, réfléchie et concertée au fil de l’atelier.

L’atelier a permis aux participant·e·s de :

  • Prendre du recul sur leur motivation initiale : Les discussions collectives ont aidé à clarifier les priorités et les enjeux personnels liés aux actions climatiques.
  • Renforcer leur sentiment d’efficacité collective : La collaboration sur des solutions concrètes a montré que les efforts individuels et collectifs pouvaient se compléter.
  • Transformer l’émotion en action structurée : Les participant·e·s ont quitté l’atelier avec une motivation mieux orientée et plus ancrée dans des objectifs tangibles.

Extrait des témoignages des animateurs

« Au début, la motivation était palpable, mais elle semblait impulsive, voire chaotique. À la fin, on sentait une motivation plus alignée avec une vision commune. »

« Les participants semblaient mieux comprendre où et comment investir leur énergie pour avoir un impact significatif. »

Montée en connaissances

Une majorité de participant.e.s (71%) disent que leur niveau de connaissances générales sur les changements climatiques a augmenté grâce à l'atelier.  

Non seulement les participant.e.s ont acquis de nouvelles connaissances, mais un peu plus de la moitié (52%) a aussi confirmé que l'atelier avait remis en question certaines notions qu'iels pensaient savoir au sujet des changements climatiques. Par exemple, on note :

  1. Statistiques et données quantitatives sur les émissions de GES :
    • Le nombre de tonnes de CO2 par individu au Québec (8,1 tonnes en moyenne) était largement sous-estimé.
    • Les participants ont été surpris par la grande quantité de GES produite par habitant et les pourcentages des différents secteurs émetteurs au Québec.
    • L’impact concret des émissions de GES par habitant a été mieux compris après l’atelier.
  2. Sources et secteurs émetteurs de GES :
    • Les transports sont perçus comme un facteur plus significatif qu’initialement estimé.
    • Les participants ont mieux saisi l’importance relative des différents secteurs, comme l’industrie, l’agriculture, et les déchets.
  3. Progrès et cibles climatiques :
    • L’atelier a révélé l’écart considérable entre les émissions actuelles et les cibles climatiques, suscitant une prise de conscience sur l’ampleur des efforts nécessaires.
    • Certains ont exprimé leur étonnement face à l’ampleur de la crise actuelle et au travail restant pour atteindre les objectifs climatiques mondiaux.
  4. Énergie et impact environnemental :
    • L’idée préconçue selon laquelle l’électricité est significativement moins polluante que les autres sources d’énergie a été remise en question.
    • Les participants ont compris que tous les types d’énergie ont un impact environnemental, bien que les degrés varient.
  5. Responsabilité individuelle et collective :
    • Les discussions ont aidé à clarifier l’implication des actions individuelles sur le réchauffement climatique.
    • La sensibilisation a permis de mettre en lumière la contribution individuelle par rapport aux émissions globales et sectorielles.
  6. Effets positifs des actions climatiques :
    • Des notions comme la réparation progressive de la couche d’ozone ont renforcé la perception qu’un changement positif est possible avec des efforts collectifs.

Ces éléments montrent que l’atelier a joué un rôle important dans la correction des idées reçues et l’approfondissement des connaissances des participants.

Ce que les participant.e.s retiennent le plus

Voici les principales thématiques qui ont marqué les participant.e.s dans l'ordre de fréquence et d'importance.

  1. Importance de l’action collective – L’impact positif du collectif a été fréquemment mentionné, avec un accent mis sur la nécessité d’agir ensemble pour faire une différence face aux changements climatiques.
    • Exemple : « Qu'en se mobilisant nous pouvons influencer notre milieu de travail à faire des changements qui contribueront à améliorer notre impact environnemental. »
    • Exemple : « Que c'est en échangeant qu'on trouvera des solutions et qu'on pourra combattre le sentiment d'impuissance individuelle. »
  2. Prises de conscience sur les émissions de GES – Les participants ont rapporté avoir retenu des faits marquants sur les émissions de GES et leur répartition, souvent plus importantes qu’ils ne le pensaient.
    • Exemple : « Le nombre de tonnes de CO2 produit par individu au Québec est vraiment plus élevé que ce que je croyais. »
    • Exemple : « La quantité de GES produit selon les activités que l'on fait. »
  3. Dialogue et diversité des perspectives – Les échanges ont été valorisés pour leur capacité à exposer les participants à de nouveaux points de vue et à enrichir leur compréhension des enjeux climatiques.
    • Exemple : « La discussion avec autrui et être exposé à d'autres points de vue a renforcé ma compréhension des enjeux. »
    • Exemple : « J'ai bien aimé faire connaissance de d'autres collègues de [mon milieu de travail]. »
  4. Ressenti émotionnel et inspiration – Certains participants ont retenu des moments inspirants ou motivants qui les ont encouragés à envisager des solutions concrètes ou à adopter une perspective plus positive.
    • Exemple : « La bonne nouvelle que le trou de la couche d'ozone est presque refermé. »
    • Exemple : « Que de petites actions peuvent être entrepris, de ne pas attendre le portrait idéal avant d'agir. »
  5. Impact local et organisationnel – Les participants ont aussi noté l’importance d’actions concrètes à l’échelle locale ou organisationnelle, souvent en lien avec leur environnement immédiat ou leur milieu de travail.
    • Exemple : « Qu'il y a des choses mises en place au niveau de la ville et bien sûr au niveau de [mon entreprise]. »
    • Exemple : « Les divers impacts des changements climatiques que je ne connaissais pas encore et aussi les gestes que la ville pose pour diminuer les zones de chaleur. »

Effets sur la vision du futur

Voici quelques témoignages sur l'influence que l'atelier a eu sur la manière que les participant.e.s envisagent le futur.

  • Vision optimiste et espoir dans l’action collective – Plusieurs participants ont mentionné un regain d’espoir grâce à l’action collective et aux solutions concrètes abordées lors de l’atelier.
    • Exemple : « J'imaginais un futur beaucoup plus pessimiste. Je trouve que l'atelier nous amène à passer à l'action avec un but commun pour un futur plus écoresponsable. »
    • Exemple : « Ça donne de l'espoir de voir que des gens s'impliquent et que des solutions concrètes commencent à être implémentées. »
  • Confirmation des inquiétudes climatiques – Pour certains, l’atelier a renforcé leur perception de la gravité des enjeux climatiques et l’urgence d’agir. Ces participants expriment des inquiétudes sur l’avenir tout en soulignant les défis à surmonter.
    • Exemple : « Je crois que le futur sera très difficile. »
    • Exemple : « Que ma fille vivra ces changements plus que je ne le pensais... »
  • Motivation à agir et réflexion sur les gestes individuels – L’atelier a incité plusieurs participants à envisager ou mettre en œuvre des gestes concrets pour contribuer à un avenir durable. Cependant, certains soulignent la difficulté de maintenir cette motivation face aux défis structurels.
    • Exemple : « On peut agir pour le futur un pas à la fois. »
    • Exemple : « Chaque petit geste compte (ex. : éteindre les lumières, éteindre l'ordinateur). »
  • Stabilité des perceptions existantes – Une partie des participants a indiqué que leur vision du futur n’avait pas changé, reflétant un niveau déjà élevé de conscience environnementale.
    • Exemple : « Ma vision n'a pas changée. »
    • Exemple : « Ma vision reste la même, mais cela solidifie mes connaissances. »

Poursuite du dialogue

En terme de poursuite du dialogue, les participant.e.s se sentent globalement plus enclin à, dans l'ordre :

  1. expliquer à leur entourage ce que sont les causes et les effets des changements climatique (3e énoncé dans le graphique ci-bas)
  2. mettre en application ces nouvelles connaissances dans ma communauté/au travail (2e énoncé dans le graphique ci-bas)
  3. poursuivre ce dialogue dans mon entourage dans les prochains jours et prochaines semaines (1er énoncé dans le graphique ci-bas)

Toutefois, ce classement et relatif au score moyen de chaque énoncé et on peut tout de même apprécier la motivation global pour chacun qui est relativement plutôt positive. 

Changement de comportement

Une majorité de répondant.e.s souhaite apporter des changements dans ses habitudes de vie suite à l'atelier. 

Parmis ces changements, ce sont surtout les catégories d'actions qui se voient globalement réordonnées suite à l'atelier par rapport à ce qui était observé auparavant. L'ordre est maintenant : 

  1. Le transport : réduction des déplacements en auto-solo et en avion, utilisation du transport actifs ou des transports en commun
  2. L'alimentation : régime végétarien ou végétalien, consommation de produits saisonniers, consommation de produits bio ou locaux, réduction du gaspillage
  3. Les habitudes de consommation : Éviter les produits suremballés, produits locaux, achats usagés, gestion des déchets
  4. L'habitation : augmentation de l'efficacité énergétique (isolation, thermopompe, etc.), favoriser l'énergie renouvelable (abandonner le gaz), usage responsable de la climatisation et du chauffage, réduction de la consommation de l'eau, etc.

Une analyse spécifique sur les effets de l'atelier sur cette priorisation des efforts est disponible dans cette note.

Action collective

Environ 64% des répondant.e.s ont quitté l'atelier avec une intention de s'investir dans une action collective pour le climat. 

Évaluation de l'atelier

Appréciation du safe space

Parmis les 4 indicateurs pour qualifier le safe space lors des ateliers, le critère qui score le moins haut est celui de la répartition du droit et du temps de parole parmi toute l'assemblée/l'audience. Les 3 autres critères évalués sont tous très serrés, soient le sentiment d'être écouté.e, l'appréciation de l'animation pour favoriser un climat d'échange respectueux et bienveillant par l'accueil de la parole de toutes et tous et le sentiment d'aisance à prendre la parole librement et sans jugement. Enfin, le paramètre qui sort avec la meilleure moyenne pondérée (par 0.01 point) est le sentiment d'aisance à prendre la parole librement et sans jugement. Somme toute, les 4 paramètres ont de très haut score dans l'absolu. 

Qualité de l'atelier et son format

Les résultats recueillis montrent que la qualité de l’animation a été perçue comme la principale force de l’atelier, tandis que la réponse aux besoins et préoccupations spécifiques des participant·e·s représente l’aspect nécessitant le plus d’amélioration. Voici un aperçu des six critères évalués, classés par ordre de satisfaction :

  1. L'animation était de qualité et dynamique
    • 95 % en accord ou totalement d'accord
    • L’animation a été unanimement reconnue pour son dynamisme et sa capacité à engager les participant·e·s, favorisant des discussions productives dans un climat bienveillant.
  2. Les concepts et explications étaient clairs
    • 92 % en accord ou totalement d'accord
    • Les participant·e·s ont majoritairement trouvé les contenus accessibles et bien expliqués, bien que certains aient exprimé un besoin de simplification ou de contextualisation accrue pour des exemples spécifiques.
  3. Les activités et exemples étaient pertinents
    • 91 % en accord ou totalement d'accord
    • Les activités interactives ont été jugées utiles et engageantes, avec une forte pertinence perçue dans leur capacité à susciter la réflexion.
  4. Les objectifs de l’atelier étaient clairs et précis
    • 92 % en accord ou totalement d'accord
    • Bien que la majorité ait trouvé les objectifs bien définis, quelques participant·e·s auraient apprécié une clarification préalable des attentes spécifiques.
  5. La durée était adéquate
    • 88 % en accord ou totalement d'accord
    • La durée de l’atelier a généré des avis plus partagés, 12 % des participant·e·s estimant qu’il manquait de temps pour approfondir les discussions sur les solutions concrètes.
  6. Les contenus correspondaient à mes besoins et préoccupations
    • 85 % en accord ou totalement d'accord
    • Ce critère a montré la plus grande marge d'amélioration. Les participant·e·s ont exprimé des attentes plus spécifiques, notamment en lien avec leur secteur professionnel ou leurs préoccupations locales.

Réponse aux attentes

Les attentes partiellement ou non répondues (12 %) révèlent un besoin d’adaptation des contenus selon les profils des participant·e·s. Par exemple, des employé·e·s municipaux attendaient davantage de contenus liés aux politiques locales, tandis que des membres d’entreprises espéraient des recommandations concrètes applicables à leur secteur.

Une meilleure clarification des objectifs de l’atelier avant le début pourrait également améliorer l’alignement des attentes.

Satisfaction générale

L'atelier Jasons climat sort de sa première ronde avec une appréciation générale de 3.4/4 où la majorité des répondant.e.s ont été très satisfait.e.s (4/4). D'ailleurs, le Net Promoter Score (NPS) va en ce sens où 57% des répondant.e.s s'affichent comme promotteur.euse.s de l'atelier, 9% sont des détracteur.euse.s et 34% sont passifs pour un score total de 48. 

Commentaires généraux des participant·e·s

Engagement et points forts de l’atelier :

  • « La synthèse des enjeux climatiques était claire et m’a rappelé les outils comme la Fresque du climat. »
  • « J’ai aimé l’approche dynamique des animateurs, qui a permis de garder l’attention tout au long de l’atelier. »

Suggestions pour les contenus et supports :

  • « J’aurais aimé plus de données précises et d’exemples concrets pour approfondir mes connaissances. »
  • « Pourquoi ne pas imager l’impact des changements individuels, comme l’effet d’un repas végétarien par semaine ? »

Préférences pour l’adaptation et le format :

  • « Une version plus longue et davantage axée sur les solutions concrètes serait idéale. »
  • « Dans un contexte professionnel, il serait pertinent d’adapter l’atelier aux enjeux propres à notre secteur. »

Limitations ressenties :

  • « Je me sentais impuissant·e à mettre en place certaines idées dans mon organisation. Une suite pour concrétiser ces actions serait utile. »
  • « La durée limitée des échanges sur les solutions ne permet pas d’aller au fond des choses. »

Analyse des résultats

Sensibilisation accrue, mais hétérogène selon les profils

L'atelier a atteint son objectif de sensibilisation, avec une augmentation notable de la littératie climatique chez tous les participant·e·s, les plus novices comme les plus initié·e·s. Cependant, l'ampleur des apprentissages était influencée par le niveau de connaissances initial : les participant·e·s déjà sensibilisé·e·s ont davantage clarifié ou actualisé leurs connaissances, tandis que les novices ont intégré des notions fondamentales.

Implication : Bien que les ateliers soient efficaces pour diversifier les niveaux de compréhension, leur format actuel pourrait limiter leur pertinence pour des publics déjà très informés. Cela soulève la nécessité d'adapter le contenu à des segments variés, notamment en distinguant des modules pour débutant·e·s et pour participant·e·s expérimenté·e·s.

Dialogue inclusif dans un cadre homogène

Les ateliers ont démontré leur capacité à maintenir un dialogue respectueux, apaisé et productif, évitant les écueils de polarisation. Cependant, cet effet bénéfique est étroitement lié à la composition homogène des groupes, majoritairement composés de participant·e·s déjà convaincu·e·s.

Implication : L’absence de polarisation reflète autant le profil des participant·e·s que le format inclusif de l’atelier. Étendre ce dialogue à des publics plus divers ou polarisés nécessitera des adaptations méthodologiques et un travail préparatoire accru.

Absence de polarisation des opinions

En raison du profil relativement convaincu des participant·e·s, les ateliers ont bénéficié d’un climat de dialogue exempt de polarisation majeure. Cette homogénéité a permis des discussions fluides et collaboratives, mais soulève des interrogations quant à la capacité du format à gérer des contextes plus polarisés ou controversés, une question à considérer dans les prochaines phases du projet.

Émergence d’un consensus autour de l’action collective

L'atelier a encouragé une prise de conscience collective de l'importance de l’action collective pour relever les défis climatiques. Ce consensus a émergé grâce aux échanges constructifs et au format participatif, qui ont permis de combler une lacune souvent observée entre l’action individuelle et la responsabilité institutionnelle (gouvernements, entreprises, municipalités, etc.).

Implication : Si cette prise de conscience est un levier puissant, elle reste théorique sans un accompagnement structuré pour traduire ces idées en plans d’action concrets. Une continuité dans les ateliers pourrait maximiser cet effet.

Potentiel limité pour générer des actions concrètes sans suivi

Les ateliers ont amorcé un passage à l’action en encourageant les participant·e·s à réfléchir à des solutions concrètes, tant individuelles qu’organisationnelles. Cependant, ces initiatives sont restées au stade de l’émergence, sans mécanismes de suivi pour les transformer en actions durables.

Implication : Le format actuel, bien que motivant, ne suffit pas à soutenir le passage à l’action. Un second volet, axé sur la structuration de ces idées en plans concrets, serait essentiel pour maximiser l’impact des ateliers.

Réflexion générale

Les ateliers Jasons climat ont largement atteint leurs objectifs en matière de sensibilisation et de dialogue inclusif, mais ils présentent des limites dans leur capacité à traduire ces efforts en actions concrètes ou à inclure des publics plus diversifiés. Les conclusions soulignent l’importance d’intégrer des mécanismes de suivi et d’adaptation pour répondre aux besoins variés des participant·e·s, tout en renforçant l’équité dans la sélection des publics.

Les effets sur la littératie climatique sont répertoriés dans leur propre note.

Analyse longitudinale

Un groupe de discussion avec des participant.e.s volontaires a eu lieu quelques semaines après leurs ateliers afin d'évaluer la pérennité des effets immédiats mesurés. Une synthèse est présentée dans cette note.

note Note(s) liée(s)

padding Carnet(s) relié(s)

file_copy 7 notes
Apprentissages issus de Jasons climat - projet pilote de dialogues climatiques
file_copy 7 notes
person
Intégré par Jacob Yvon-Leroux, le 11 décembre 2024 22:41

Auteur·trice(s) de note

forumContacter l’auteur·trice

Communauté liée

Projets - Dialogues climatiques

Profil En commun

Communauté Passerelles

Carnets Praxis

forumDiscuter de la note

Publication

12 décembre 2024

Modification

20 janvier 2025 22:18

Historique des modifications

Visibilité

lock_open public

Pour citer cette note

Jacob Yvon-Leroux. (2024). Effets des ateliers. Praxis (consulté le 6 février 2025), https://praxis.encommun.io/n/nisuWpzRKVRttMd013dJ_sN3z44/.

shareCopier