Vers une plus grande sobriété numérique au Québec

À cause des perspectives de croissance insoutenables des impacts environnementaux du numérique il est essentiel de chercher à réduire les flux de matière et d'énergie associés à notre utilisation des technologies numériques, ainsi qu'aux équipements que l'on renouvelle à une vitesse folle. C'est ce que l'on appelle ici « sobriété numérique ».

Ce changement de paradigme vers une sobriété numérique, passe par des basculements significatifs, notamment:

• • Une restructuration de la filière de récupération des appareils, afin de favoriser les étapes de réemploi avant celles de recyclages

  • Des efforts pour diminuer l'empreinte des infrastructures existantes

  • Un soutien gouvernemental aux pratiques de réemploi

  • L'encadrement de pratiques d'obsolescence

  • La sensibilisation des acteurs gouvernementaux, des milieux financiers, et des utilisateurs

  • Un développement de l'industrie de la réparation et du reconditionnement

  • Le développement de pratiques de mutualisation des appareils à l'échelle des territoires, des organisations et des habitations partagées

L'image ci-dessous illustre comment, une fois liés les uns aux autres, ces basculements représentent des points d'étape importants pour atteindre une plus grande sobriété numérique au Québec d'ici 2040. 

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Pour poursuivre la lecture: Développer un partage équitable de la ressource numérique

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Ce carnet a été rédigé à partir des travaux du Défi numérique de Chemins de transition. Vous pouvez consulter le site internet de l'initiative pour retrouver l'ensemble des ressources disponibles. 

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