Vie interne de Projet collectif en 2023

Cette note s'inscrit dans le contexte du rapport annuel 2023 de Projet collectif.

Assurer une vie interne stimulante et qui permettent de renforcer les liens entre les membres de l’équipe n’est pas simple dans un contexte de croissance, alors que Projet collectif n’a pas de bureaux et que les employé·es sont réparti·es dans trois régions administratives. Nous sentons néanmoins qu’une culture propre à l’organisation et qu’une cohésion se développent, que ce soit à travers des collaborations autour de projets spécifiques ou des discussions collectives de fond. Ces dernières permettent par ailleurs à chaque personne de contribuer à la définition même de l’identité et des orientations de cette jeune organisation. 

📖 À lire
Comment prendre soin de la culture et des valeurs d’un projet tout en accompagnant sa mise à l’échelle?

Diverses rencontres ont lieu au cours de l’année. En plus des rencontres hebdomadaires, l’équipe se rassemble aux deux semaines pour des activités collectives, en plus du Lac-à-l'épaule de l'estivation et de quelques séances de co-working en personne. Projet collectif est d'ailleurs membre des Ateliers de la transition écologique.

📖 À lire
Une première expérience d'estivation à Projet collectif en 2023

L’équipe a également mis en place un bottin interne où chacun·e se présente à travers ses connaissances et ses expériences, mais également ses besoins d’apprentissage et ses activités hors travail.

Exemples d'activités et de sujets

🧰 Voici quelques chantiers qui ont avancé en 2023

• Chantier de décolonisation à Projet collectif
• Chantier sur la clarté stratégique
• Chantier de définition de la pratique de Projet collectif

Divers sujets ont été également abordés:

• Vincent Chapdelaine a présenté à l’équipe sa vision de la bibliothèque, qui n’est pas qu’un lieu, mais également «une institution publique investie d’une mission: garantir l’accès universel à la connaissance et à la culture». Pour en savoir plus, lire son billet Suis-je toujours un bibliothécaire?
• Marie-Hélène Laurence a animé un atelier sur le design thinking centré sur l’humain, «un processus qui donne naissance à des solutions désirables, faisables et viables» qui sont «innovantes, ancrées dans les besoins réels des gens.»
• Samantha Lopez Uri nous a parlé de son processus de décolonisation, un parcours d’un point de vue personnel, professionnel et académique.
• Véronique Larose a discuté de savoirs ouverts et Joël Nadeau de communautés de pratique, deux sujets qui sont également abordés dans les formations qui ont ensuite été développées dans le cadre de l’UPop.
• Marie-Soleil a proposé un retour d’expérience sur son accompagnement dans le cadre des Ateliers des savoirs partagés.
• L’équipe a tenu une discussion de fond sur la notion de Bien commun, animée en trois étapes par Rémi Proteau et avec l’implication de Maria Anastasaki, membre du conseil d’administration, dont voici quelques conclusions.
• Nous avons toustes été affecté·es par la situation en Palestine, nous demandant ce que nous pouvions faire à l’échelle individuelle et organisationnelle, ce qui a mené à la création d’une communauté et d’un carnet rassemblant une cinquantaine de ressources sur le sujet.
• Pour une deuxième année de suite, une partie de l’équipe a assisté à la Journée de la Vérité et de la réconciliation 2023.