Bulletin n° 32 de veille bibliographique sur l’agriculture de proximité

Avril-mai 2024

Chère lectrice, cher lecteur,

Au menu de ce bulletin l’incapacité structurelle des supermarchés à être des agents de changement de nos systèmes alimentaires, la restructuration des abattoirs et les questions que cela pose, la résilience des systèmes alimentaires, les conditions à réunir pour implanter une nouvelle culture et l’analyse d’un important débat : la culture hydroponique peut-elle être bio ?   

Excellente lecture

Pourquoi les supermarchés ne seront pas à l’origine de la transformation de nos systèmes alimentaires 
Des chercheurs allemands mettent en lumière l’asymétrie entre la dominance des supermarchés et le faible espoir de transformation qu’ils portent en eux.

La consolidation du secteur de l’abattage en Grande-Bretagne affecte la disponibilité des services
Cette étude analyse la transformation du secteur de l’abattage en Grande-Bretagne, une transformation qui n’est pas sans rappeler celle que vit présentement le Québec.

Rôles des acteurs locaux alternatifs et résilience des systèmes alimentaires du Royaume-Uni
En contexte de crise, la résilience des systèmes alimentaires est mise à l’épreuve. Les acteurs locaux présentent des alternatives flexibles, diversifiées et connectées pouvant améliorer la résilience des systèmes alimentaires.

Les codes et stratégies argumentatives utilisés dans le débat sur l’hydroponie en agriculture biologique aux États-Unis
Cette étude jette un regard sur les débats idéologiques et la rhétorique des positions pour et contre l’hydroponie en bio, illustrant que les deux camps accordent de l’importance aux mêmes critères civiques.

Exploration des potentiels de commercialisation de nouvelles cultures pérennes en Amérique du Nord
Les possibilités de commercialisation du Kernza, une graminée pérenne, sont tributaires d’une synergie entre les acteurs afin qu’offre et demande se coordonnent.

Cette veille bibliographique vous est offerte par le groupe de recherche Agriculture, territoires et développement de l’Université Laval avec le soutien du ministère de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation du Québec.

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