Atelier 2 - Retour sur l'atelier du 18-19-20 décembre

💡 Contexte - Cette note s'inscrit dans l'atelier 2 réalisé dans le cadre de la démarche de Projet collectif pour réfléchir à la soutenabilité des plateformes d'En commun, et ce, sous le prisme des communs.

Que retenez-vous des trois derniers jours ?

Ces trois derniers jours ont été extrêmement enrichissants. Il est indéniable que ce modèle a apporté une contribution significative à nos réflexions. Il a été un véritable catalyseur pour notre évolution conceptuelle, et l'expérience a été à la fois riche et concrète. La découverte de 74 idées émergentes a été particulièrement impressionnante.

La discussion est animée, et nous avons consacré de nombreuses heures à croiser nos points de vue, à élaborer la formule et à définir le rythme. Bien que la durée ait été substantielle (12 heures !), elle a semblé passer rapidement. Il est évident que, à la fin de ces trois jours, nous sommes encore profondément investis dans nos réflexions. Comment pouvons-nous maintenir cet élan positif ?

Nous nous interrogeons maintenant sur les prochaines étapes et sur la manière de continuer à nourrir notre feu intérieur. À la fin de cette troisième journée, nous avons ouvert de nouvelles perspectives. La question qui se pose est de savoir comment utiliser tout ce que nous avons découvert et écrit, et comment suivre les pistes que nous avons tracées.

Une question persiste : comment relier tous les éléments ? L'idée de Frédérick est de créer des liens entre les différents piliers, de comprendre quelles ressources sont liées à d'autres, quelles tâches sont liées à qui. Une carte mentale est en train de se dessiner dans sa tête pour visualiser ces connexions.

Marie-Hélène souligne l'aspect concret du modèle, mais suggère également de commencer par des réflexions plus générales pour finalement aboutir à des détails concrets. Il s'agit de passer du général au spécifique de manière méthodique.

Un point intéressant est soulevé par Marie-Hélène : bien que l'exercice ait été intellectuellement stimulant, elle remarque qu'il n'a pas été abordé avec le cœur. Il semble que nous ayons intellectualisé le modèle au détriment de l'aspect émotionnel et intuitif.

Vincent apprécie le caractère concret du modèle, tout en reconnaissant qu'il a ouvert la porte à des réflexions plus stratégiques et à des ramifications complexes. Il souligne la nécessité de rédiger un plan de soutenabilité, en prenant en compte notre écosystème, notre environnement interne et externe, ainsi que les ressources et les budgets nécessaires.

En fin de compte, ces trois jours ont été une expérience motivante pour tous. Le projet d'En commun est revenu au centre de nos réflexions, et le fait d'avoir pris le temps de réfléchir collectivement pendant trois jours a été extrêmement gratifiant.

L'équipe a tenu à saluer la préparation et l'organisation des ateliers. Tout était clair, bien guidé, et empreint de bienveillance et de douceur. Il est évident que beaucoup de temps a été investi dans la préparation de cet événement.

Maryse s'interroge sur la nature de nos réflexions en matière de soutenabilité, compte tenu de l'accent mis sur des questions concrètes et pratiques. Elle considère qu'il existe encore une certaine confusion à ce niveau.

Vincent partage la même interrogation lorsqu'il s'agit de détails très spécifiques. Il se demande si ces éléments relèvent davantage d'un plan d'action pour un projet collectif que d'un modèle de soutenabilité. Tout en considérant que même les actions micro peuvent contribuer à la soutenabilité générale. 

Jacinthe souligne l'importance prendre en compte les éléments plus humains et relationnels. Alors que le modèle se concentre principalement sur les réflexions micro et le concret, elle est davantage préoccupée par les aspects relationnels, le savoir-être et l'atmosphère qui favorisent l'engagement. Elle estime que ces éléments son également essentiel pour créer un modèle de soutenabilité.

Alice apprécie particulièrement la réflexion collective avec l'équipe et constate la présence d'une intelligence collective forte au sein du groupe. Elle souligne la qualité des idées apportées par chacun.

Enfin, l'approche analogique du modèle, avec l'utilisation de post-it et les interactions en personne, a été grandement appréciée. Cette approche a permis de réfléchir différemment et de stimuler la créativité.

Il semble que ces trois jours ouvrent la voie à de nombreuses rencontres futures, et que la réflexion se poursuivra dans diverses directions. Il est important de ne pas perdre de vue l'objectif de faciliter la collaboration entre les gens, tout en reconnaissant que le modèle MSC se prête davantage aux réflexions micro qu'aux réflexions macro.

En conclusion, le modèle MSC s'est avéré être un outil précieux pour explorer des détails concrets et opérationnels, tout en laissant place à des questions sur la pertinence de certains aspects par rapport à la soutenabilité. Il a suscité des réflexions stimulantes et ouvert la porte à de nouvelles étapes passionnantes dans notre projet commun.

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Intégré par Marie-Soleil L'Allier, le 20 décembre 2023 17:01
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Publication

20 décembre 2023

Modification

7 mars 2024 11:53

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